CIDE – Convention Internationale des Droits de l’Enfant
Convention internationale des droits de l’enfant
convention internationale des droits de l’enfant CIDE
Les droits de l’enfant ont été pour la première fois reconnus par la Déclaration de Genève en septembre 1924 qui a également affirmé le principe de la responsabilité des adultes à l’égard des enfants. Cette déclaration contenait un Préambule et 5 articles courts.
Aussi est-il apparu nécessaire plus tard de la préciser : le 20 novembre 1989, les Nations Unies ont adopté la Convention internationale des droits de l’enfant, qui a été ratifiée par la France un an plus tard.
Cette convention rappelle des droits que les enfants partagent avec les adultes, comme la liberté d’expression, de pensée, de conscience, de religion, la liberté d’association et de réunion pacifique, le respect de sa vie privée, etc…
Elle affirme aussi des droits spécifiques, notamment le droit de chaque enfant de connaître dans la mesure du possible ses parents et d’être élevé par eux.
Dans son préambule, la convention rappelle également que la famille est l’unité fondamentale de la société et le milieu naturel pour la croissance et le bien-être des enfants, et que l’enfant pour l’épanouissement harmonieux de sa personnalité, doit grandir dans le milieu familial, dans un climat de bonheur, d’amour et de compréhension.
Juristes pour l’enfance travaille pour faire connaître et respecter les droits des enfants tels que définis dans cette convention, notamment à l’occasion de l’élaboration de nouvelles lois dont les dispositions peuvent porter atteinte à l’intérêt de l’enfant.
Texte de la Convention : https://www.diplomatie.gouv.fr/IMG/pdf/Conv_Droit_Enfant.pdf
Voir aussi autres catégories

« Nous, Enfants”, 14 à 18 ans, adresse son rapport à l’ONU
Et le droit dans tout ça? Rapport de JPE pour l’ONU

Et le droit dans tout ça? Cette semaine: NOUS, ENFANTS!

Nous, Enfants : des jeunes de moins de 18 ans s’adressent à l’ONU!

Oui, Monsieur le président, le père est « forcément » un homme (Ch. Flavigny)

Vote Sénat 4/02 : la seule solution bioéthique ? Le retrait du texte
